2/19/2024

Son point d'équilibre

On pense à Tchakhotine, dit l'Auditrice: Le viol des foules par la propagande politique (1939). En fait, on est très au-delà. En 2021-2022 déjà, lors de la crise du Covid, un premier seuil avait été franchi. Sauf que, dans la crise actuelle, ils ne se contrôlent plus. Ils sont dans une surenchère permanente: de malveillance, de partialité affichée, de mensonges, d'hypocrisie, d'invectives, etc. Cela fait peur. On voit mal désormais comment on échapperait à la guerre. C'est cette hystérie même qui y conduit. Tu viens de rappeler la crise du Covid, dit l'Avocate. Comme tu le sais, ils viennent de créer un nouveau délit: pour provocation à l'abstention ou à l'abandon de soins. Toute critique à l'endroit de leurs pseudo-... expérimentaux est désormais pénalisée. Par souci de symétrie, ils devraient maintenant en créer un autre : pour provocation à l'abstention ou à l'abandon de guerres, en particulier nucléaires. Ils veulent lutter contre la haine en ligne, dit la Poire. C'est très méritoire. Complètement, dit l'Ethnologue. Leurs ..., ils veulent pouvoir les commettre sans être dérangés, ni qu'à aucun moment on ne vienne leur demander de comptes. Le totalitarisme à l'intérieur, la guerre totale à l'extérieur, dit le Visiteur: le régime, dirions-nous, a aujourd'hui atteint son point d'équilibre.